lunes, 24 de abril de 2017

HISTOIRE DES INFIRMIERS



Le soin est une activité qui existe depuis l'humanité existe, sur qui ils influencent les circonstances socioculturelles caractéristiques de chaque lieu et de temps, à chaque moment de l'histoire. Dans ce contexte socioculturel, les croyances, et dedans d´elles mêmes, la religion, ainsi que le concept dominant de la maladie à tout moment, ils seront cruciales pour analyser l'évolution des soins.

Depuis sa création, les soins ont été directement liées à la satisfaction des besoins les plus élémentaires pour l'entretien des individus, comme la nourriture, recherche de sécurité, un refuge, un abri ... et vinculées à deux termes de la vie où la dépendance d'autres est clair: l'enfance et la vieillesse. En conséquence, la première histoire des soins est en relation au début du cycle de vie, avec la participation à l'accouchement et chacun des nouveaux ajouts à la communauté, en se concentrant pour la satisfaction des besoins fondamentaux. Si autrement, nous considérons que les premières civilisations ont développé son activité dans un environnement hostile, où le nombre d'ennemis naturels de la race humaine a été considérable, les différences physiques entre les hommes et les femmes ont conduit à une division sexuelle, les hommes engagés de travail externe nécessitant une plus grande puissance physique et les femmes occupent les environs, en particulier tout ce qui concerne les soins, une circonstance qui a marqué le cours de l'histoire.

FOTO 1 Iatreia, Asclepeia y Xenodoquio

Cette vinculassions des femmes avec le soin et le début du cycle de vie conduit à l'apparition des femmes qui se consacrent aux soins au-delà de la maison. Ainsi, on sait que dans l'Empire romain avaient des femmes qui ont fourni des soins pendant l'accouchement et au nouveau-né, comme cela est arrivé au Moyen Age, où les femmes comme personnel soignant est reconnu pour ses particularités liées à la fertilité, être porteuse de chaque nouveau membre de la famille, responsable de la naissance et obligée de protéger et de nourrir le nouveau fis.

De même, depuis ses origines, le concept de maladie ou de défaut physique avait un élément magique, dérivé du système des mythes, croyances et superstitions que l'homme antique avait inventé, de la même manière en faisant un contrôle idéologique pour réduire la peur, pour expliquer les phénomènes de la nature qu´il ne pouvait pas expliquer. Dans ce contexte, la maladie est interprétée comme un mal qui est produit par les esprits ou bien une punition des dieux. Chaque maladie est liée à la superstition, le patient a été suivi par la famille et ils recouraient à la figure de la sorcière, guérisseur ou chaman.

Ils sont des figures, des sorcières, des guérisseurs ... ils combinent une série de rituels avec leur capacité à observer les phénomènes naturels, en collectant d'informations des cas vus pour appliquer dans les nouveaux cas. Ainsi, a la prise en charge de la maladie, la pensée magique prédomine.

Dans ce contexte, l'Eglise catholique, en profitant de la pensée chrétienne la quelle favorise l'altruisme, la charité et les soins pour les malades et sans défense comme une voie à suivre pour atteindre la salvation éternel, elle commence à monopoliser les soins, en adaptant et en transformant des rites et superstitions liées médian la pensée magique et la maladie dans des affaires religieuses. Cela est, la pensée magique est maintenue, mais l'accent est transformé, la forme a changé, mais pas le fond.

Ainsi, dans les hôpitaux Moyen Age ou bien institutions fermées sont créés près ou découlent d'un côté des églises et cathédrales les quelles sont construites avec l'exercice de la charité des nobles et riches prêché par l'Eglise comme un moyen de salvation. Ces institutions consacrées à la prise en charge des plus démunis dans la société des gens de temps ont joué un rôle important lors des grandes épidémies qui ont ravagé l'Europe. A d'innombrables défauts accumulés de ces bâtiments une mauvaise alimentation qui a pris l'apparition de maladies de carence, inconnus à l'époque, aux quelles devrais additionner les maladies de la peau aggravées par des parasites se sont élevés jointes.

Les soins a ces centres étais rendu par religieux ou religieuses des différents ordres, sans oublier que les femmes ont continué à être le principal fournisseur de soins à la maison. Il est donc au troisième siècle après JC, l´évêque de Césarée, Saint Basilio as fondée un ordre dédié à la création d'hôpitaux pour la prise en charge des malades et sans défense. Règle de saint Benoît au sixième siècle marquera sans aucun doute le développement des ordres religieux en Europe.

Les hôpitaux médiévaux couvrirent quatre types d'institutions, léproseries; maisons de soins infirmiers et de soins palliatifs pour les pauvres; refuges et établissements de soins pour les patients indigents. Ils étaient situés près des cathédrales et des rivières.  Plus tard, les guildes également ont construit des hôpitaux et entretenus. Le fardeau des soins est tombé toujours sur les Sœurs des divers ordres au service des hôpitaux et le personnel de service employés dans l'établissement.

À la fin du Moyen Age, une période où la misère et la famine par manque de nourriture était à l'ordre du jour, la population était à la merci des grandes épidémies qui ont ravagé l'Europe. Les chemins de pèlerinage à Jérusalem, la Terre Sainte et Saint Jacques de Compostelle, où des milliers de pèlerins sont morts. Ils faisaient plus d'hôpitaux et des infirmières pour donner d´attention aux marcheurs. L'église a encouragé la construction d'hôpitaux soutenus par des impôts qui ont été effectuées rapidement.

FOTO 2 A l´intérieur de l´Hôtel-Dieu de Paris. XVIe siècle. Bibliothèque Bourgogne. Bruxelles

Ils apparaissent les ordres militaires liés aux soins infirmiers, les soins et la protection des pèlerins malades. Ces derniers étaient une conséquence des croisades en Terre Sainte. Il y a peu d'informations sur les soins que ces infirmières ont prodigués aux guerriers, mais si la preuve qu’ils ont construit et équipé des grands hôpitaux et qu'ils eux-mêmes, les chevaliers, ont pris en charge des malades.

FOTO 3 La charte juge ou Livre des Juges

Ainsi naît les premiers ordres militaires comme les Chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem; Teutons; l'Ordre de Malte, les Chevaliers de Saint-Lazare et les Chevaliers du Saint-Sépulcre, les célèbres Templiers. La montée des ordres militaires religieux atteint aussi l'Espagne et l'Ordre de Calatrava apparaît, la Montesa ou les Chevaliers de Santiago.

Les premiers hôpitaux qui sont connus sont : L'Hôtel-Dieu de Lyon (France, 542, Hôtel-Dieu de Paris (France, 650) et l'Hôtel du Sant Esprit de Rome (Italie, 717) À l´ Espagne, le premier connu est l'hôpital de Merida, fondée par l'évêque de la ville.

À l´Hispanie avec la monarchie Goth, quand ils sont au pouvoir les Wisigoths, entre le V et VIII siècle, fait son apparition la «La charte juge ou Livre des Juges» dans ce livre apparaît déjà le nom de nos ancêtres «purgeurs». Au XIIIe siècle, dans le royaume de Castille et selon le code «les sept parties» de Roi Alfonso X le Sage, comprennent le nom de alfajemes, aussi communément appelés barbiers; Ils devaient raser et saigner dans des endroits distants et pas dans les places et les rues. Déjà nos ancêtres commencent à former des guildes et fraternités avec la croissance important des professionnels libéraux comme le nôtre.

Il est écrit qu´en XIVe siècle, ils se sont basés les premiers Confréries des Barbiers et Chirurgiens sous l'invocation des Saints Patrons Saint Côme et Saint Damien. Ces confréries étaient des institutions avec un caractère religieux - bénéfique, bien que ses lois aient été émises des normes de pratique professionnelle, car pour exercer, les chirurgiens-barbiers devraient être examinés par deux chirurgiens de la guilde.

Nous voyons déjà que chaque Groupe, Guilde, Association, etc. Ils se rendent compte qu'il est non seulement «prendre soin», mais ils commencent faire attention qu´il faut besoin de savoir soigner, et ces pour ca qu´ils sont donc organisés en groupes et comme nous l'avons dit, pour appartenir à une confrérie ils devraient passer un examen et en plus, être examinés. Ils se rendent compte qu´on doit étudier et non seulement vaut à savoir.

Par exemple, en 1310 à Valence la Confrérie des Barbiers et Chirurgiens avaient dans leur examen à tous les candidats de partie théorique et pratique. Il est également réuni à Barcelone en 1408, ses examens étaient comme ceux de Valence dans la guilde professionnelle de Saint-Côme et Saint-Damien, de Chirurgiens et Barbiers.

À Madrid en 1385 11 hôpitaux sont regroupés en 1 «l´Hôpital General», divisé en deux maisons: l'une pour maladies contagieuses et l´autre pour non infectieux. En 1524, Carlos V fournit des «hôpitaux royales» où les fonctions et les tâches du personnel, compris ces de l´infirmier supérieur et les infirmières cliniques sont spécifiés. Les soins de santé est également couvert en confréries, guildes et fraternités.

La capacité de la pratique a été recueillie par les rois D. Fernando et Dona Isabel, le 9 Avril, 1500, une Pragmatique Royale publié à Segovia où il a été dit que:

«Nous donnons l´ordre, que Barbiers et Examinateurs supérieurs, désormais, ne consentent pas ou donnent pas lieu à un coiffeur, ni aucune autre personne, peut il mettre un commerce ou faire des saignements, ou de prendre des sangsues, ou bombement, ou arracher des dents ou molaires, sans d'abord être examiné personnellement par les tels plus grands maîtres Barbiers, sous peine si quelqu'un faisait use des choses précitées ou l'un d'eux sans examen, comme cela a été dit, soit inhabilité perpétuellement d'utiliser ce bureau, et encore, qu´il paye deux mille maravédis en pénalité pour notre Courte Royale, etc. ....».

Nous savons ce que nos ancêtres ont étudié, ainsi en 1541 avait comme livre d'étude le «Livre d'art des sages-femmes et de régiment d´enceintes et vêlées et des enfants»; en 1583 «Traité de l'utilité de venae festionisin»; dans la même année, le «Traité de l'utilité de saignement»; 1604 «Prematica pour lequel l'ordre est donné à l'examen des chirurgiens romancier»; en 1617 «Instruction des infirmières et le confort à patients l'affligée. Et la pratique authentique appliquée en tant que remèdes que les médecins commandent. Il est très nécessaire pour les patients soient bien guéries et utile aux praticiens médicaux», etc.

FOTO 4 Livre d'art des commères et de régiment des enceintes et les vêlées et des enfants 1541. Traité de l'utilité du venae festionisin 1583

Par Certificat Royal de Felipe V, le 29 Janvier, 1711, fut créé la Classe de Purgeurs qu'il était une première étape vers la coordination des différents métiers et les professionnels qui formaient un tout dans les différentes branches de la science consacrée à la guérison des malades.

En 1843, ils ont été approuvés les «assistants médicaux et de la chirurgie, pratiques dans l'art de guérir» et en 1846 ont été les «ministrantes ou chirurgiens mineurs».

Ces lois ont été remplacées par l'Arrêté Royal du 9 Septembre 1857, la « Loi Moyano » (par le ministre du Développement Don Claudio Moyano) qui, en vertu de la Loi de Base sur la santé en 1855, réglementait les professions auxiliaires de santé, tout en reconnaissant les praticiens et les sages-femmes en tant que praticiens d'un commerce.

En 1896. Dr. Federico Rubio et Gali, ouvre la 1ère École laïque des sciences infirmières à Saint Isabel de L´Hongrie.

FOTO 5 Infirmières dames de la Croix-Rouge française, médecin et praticien 1915. Bibliothèque Nationale de France

Au Pays Basque
Parler de barbiers de village, purgeurs, ministrants ou infirmières dames, Ça nous conduit à d'autres moments de la profession sanitaire d´infirmière. Depuis des Barbiers du XIVe siècle aux infirmières d´aujourd’hui, il y a eu de nombreux changements qui se sont produits.

Gipuzkoa n'a pas été insensible à ce qui se passait dans d'autres endroits plus ou moins proches, étant que l'histoire des soins est similaire au monde qu’il faisait partie. Apres l´soins infirmières Intuitives on est arrivé à celle qui a été reçu oralement par les anciens de chaque famille ou de la communauté, se situant entre les siècles dixième et quinzième quand ils commencent à identifier les personnes qui, d'abord par la noblesse, la charité et de l'amour et, plus tard, pour les salaires, ils seront consacrés à répondre aux besoins fondamentaux des personnes touchées par la maladie.

Ce ne fut que le seizième siècle, lors se réalisent des écrits destinées à éduquer et à organiser les personnes qui prennent soin des malades, en accordant une attention particulière à tout ce qu'il est lié à l'accouchement et peut-être pour ça, liant ainsi l'activité avec le monde féminin. Cette époque est en correspondance avec la première mention aux infirmières en disant qu´elles sont un complément du travail que depuis le IXe siècle les ordres religieux ils développaient, comme nous l'avons vu dans le chapitre précédent. Cette relation intime entre les infirmières et la religion donne à son travail un sens spirituel, où ils prédominent les sentiments reflétant une vocation. La nécessité de bien préparer le personnel dédié à ces fins est le résultat de sa soumission presque totale à l'administration religieuse, chargée de la gestion des soins pour être elle même qui connaissait les remèdes les plus efficaces. L'infirmière, une filiale de religieux, n'avais pas l´option d'augmenter leurs connaissances et donc son travail était considéré comme domestique, sans valeur sociale.

Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, ils sont restés en vigueur les règles que divers ordres religieux avaient disposées pour la prise en charge des malades, et le changement d'attitude des infirmières ne se produirait pas avant le dix-neuvième quand en plus son bon caractère a été commencé à se joindre la connaissance acquise.

En Bizkaia depuis Don Diego López de Haro a fondée la Ville et l´a donné la Charte Puebla le 15 Juin 1300, il existait comme hôpital médiéval ceci de Magdalena ou San Lazaro, créant ce de l'hôpital de los Santos Juanes vers la fin le quinzième siècle. Il est écrit dans le Régiment général de 6 Décembre de 1645, qui stipule que ces institutions fonctionnaient uniquement comme des «abris naturels des habitants de Bilbao sans aucune propriété, vieux et misérables».

Dans Alava bien qu´ils existent les données des hôpitaux ermites depuis 1167. Le cas le plus connu est celui des gestionnaires de l'hôpital Santiago Apostol à Vitoria qui l´ont jugé comme «l'hôpital de guérison» sont connus depuis 1466, mais sans doute étaient présents depuis la fondation de hôpital en 1419. Également à 1514 on trouve des références sur l'hôpital de San José.

En Guipúzcoa, depuis 1485 jusqu' à 1900, le nombre de centres d'hospitaliers ou bien pour le soulagement était en sous-effectif, il y avait seulement huit centres. De même il y a des données de 1485 qui sont de l'hôpital San Lazaro dans le quartier de San Martin à San Sebastián en dehors des murs. De 1535 - 1719, on connaît l´existence d'hôpital de San Antonio Abad dans la banlieue de Santa Catalina. Plus tard, en 1787, cet hôpital a déménagé à la rue le 31 Août et en 1888 a déménagé à l'Avenida de Navarra à Manteo. L´hôpital Tolosa a été inauguré à 1860.

En conséquence des lois précitées de 1855 et 1857, ils ont commencé à créer les premières associations professionnelles dans l'histoire de soins infirmières au Pays Basque et quand les pratiquants sont venus à la lumière ils ont été intégrés dans les écoles de Bleeders, en les différenciant seulement par son diplôme, jusqu'à ce qu’en 1867 a été interdit de pratiquer l'activité sans l'autorisation accordée par les facultés de médecine après deux années d'études et les pratiques hospitalières.

FOTO 6 Militaires et infirmières 1917. Bibliothèque Nationale de France

Au cours de la seconde guerre carliste dans tous les bataillons il y avait un chirurgien saigneur qui était habituellement le pratiquant, qui à chaque village était embauché par la Mairie. La longue période des différentes guerres carlistes fait qu´au ministère de la guerre soit où existe plus de documentation sur la question, car il était chargé de nommer les chirurgiens saigneurs pour chaque bataillon.

En 1904, les carrières de pratiquants et des infirmières sont réglementées et, deux ans plus tard, l´arrivée en Espagne du reine Victoria Eugenia fut d'une grande importance car elle a apporté avec elle même de la philosophie de Nightingale et bientôt la section des hommes de la Croix-Rouge a été complémentée avec la section de Dames, fondée par la reine. Constitution de l'Ordre des praticiens de Guipúzcoa.

1915 est publié dans le «Bulletin de praticiens» et la reconnaissance légale des infirmières religieuses de Dr Rubio.

FOTO 7 Les infirmières de la Croix-Rouge française. Première Guerre Mondiale. Bibliothèque Nationale de France

En 1917, il naît la Fédération des praticiens Basque-Navarre. Tenue de la réunion du 24 Septembre 1918 sous la présidence de M. Iglesias, et avec le président de l'école hôte, M. Martínez de Pinillos, comme vice-président, elle a réuni des représentants des six collèges du Nord (Alava, Gipuzkoa, Logroño, Navarra, Santander et Vizcaya), en plus de monsieur Monfledo, inspecteur provincial de la santé de Logroño, acceptant par acclamation les résolutions suivantes:

Travaillons à la dignité de la profession
Créer «L'Union des praticiens en Espagne du Nord»
Exiger l'adhésion obligatoire
Exiger que tous les emplois soient occupés autant que la Loi l´ordonne
Poursuivre le caractère intrusif
Demandez la suppression des restrictions sur l'assistance aux livraisons
Proposer à toutes les écoles d'Espagne la création de «Le corps des praticiens espagnol».

En 1918, l'Union des praticiens en Espagne du Nord (Alava, Gipuzkoa, Logroño, Navarra, Santander et Vizcaya) est né. Et en 1921, c´est créé la Fédération nationale des praticiens.

A l´année 1927 c’est créé «L'infirmière officielle» et deux ans plus tard, en 1929, la Collègiation obligatoire modifie de manière significative la configuration du paysage de la santé en général et de soins infirmières en particulier. En 1928, les sages-femmes ont été intégrées dans le Collège des praticiens.

Les événements de 1936 ont trouvé que le pays ne dispose pas d'une structure médique-sanitaire capable de répondre aux nombreux besoins présentés jour à jour. Il a fallu improviser des hôpitaux et d'équiper les existants, d´un minimum de personnel prêt à prendre soin les malades et blessés.

FOTO 8 Les infirmières et le capitaine médical de la Croix-Rouge française. Première Guerre Mondiale. Bibliothèque Nationale de France

Certains monastères ont été transformés en hôpitaux militaires, où de nombreux ordres religieux qui ont été fournis à cette fin: Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul, Filles de la Charité de Santa Ana, Sœurs de Saint-Joseph, Carmélites de la Charité, les mères Education, Filles Mercédaires, Sœurs de la Consolation, Mères du Sacré-Cœur, les Mères Irlandaises, Sœurs Servites, Serves de Jésus-Claires mères, Sœurs des Sœurs de la Croix des pauvres ...

Étant donné le grand nombre de femmes qui ont servi dans les hôpitaux, trop souvent sans plus de connaissances que leur bonne volonté, eurent organisés des ateliers pour former 5.506 Dames auxiliaires de la santé militaire en effectuant 116 cours, et l´Etat Major de l´armée de terre en mai 1938, il a créé la carte d'identité pour auxiliaire de dames, en arrivant, à la fin de la guerre civile, 12.307 degrés entre les infirmières et les assistants.

On a créé en 1937 La Croix-Rouge du Pays Basque, conformément aux dispositions du décret du gouvernement provisoire du Pays Basque. À ce décret, elle est appelée comme Association pour le soulagement des blessés en campagne, calamités publiques et les catastrophes.

En 1940, la compagnie «Michelin» et «Cementos Rezola» ont été les premiers à Guipúzcoa d'avoir un praticien sur le personnel. En 1942, l'assurance maladie obligatoire est créée. Et en 1944, les Collèges officiaux d’auxiliaires de la santé sont créés avec des sections séparées pour les praticiens, infirmières et sages-femmes. Siège social à Pedro Egaña.

En 1953, les qualifications professionnelles de sage-femme, praticien et infirmière en santé ont été unifiés dans le Titre d´ adjoint technique sanitaire (A.T.S.). En 1954 et arrêté du 20 Mars, le ministère de l'Intérieur est approuvé le Règlement du Conseil national des auxiliaires de la santé.

Dans cette même année et par ordonnance du 30 Juillet on donne l´approbation aux statuts des Collèges provisoires d´auxiliaires de la santé qui sont divisés en trois sections: les praticiens, sages-femmes et infirmières. En 1955, le Collège des sages-femmes de Gipuzkoa est constitué.

En 1958, et par ordonnance du 13 Janvier, on fait disposer pour les Assistants techniques l´obligation de s´inscrire au collège et ils doivent se collégier a la section praticiens tous les ATS masculins; a la Section des infirmières, les femmes ATS et la Section des sages-femmes, les femmes ATS spécialisées dans les soins obstétricaux.

En 1977, 1 Avril les collèges des praticiens, infirmières et les sages-femmes sont unifiés. En 1978, le 10 Octobre, les statuts de l'Organisation de la santé du Collège des assistants techniques sont publiés par le décret royal 1856/1978 du 29 Juin.

Déjà en 1978, ont lieu les premières élections démocratiques avec l'école unifiée, et en 1983 la carte Santé du Pays Basque et de la gestion de la santé territoriale du Pays Basque est publiée. En 1979 et par le Décret Royal, par lequel la conversion de l'Ecole des Assistants techniques sanitaires (A.T.S.) est approuvé, comme l'École Universitaire des infirmières. En 1997. Le 21 Novembre. L´Unité d’enseignement des soins infirmières de Dansotai devient à l´actuelle l'École des diplômés en soins infirmières de San Sébastian EHU-Université du Pays Basque.

Il y avait aussi des praticiens de la pharmacie, les infirmières, les barbiers, les praticiens de la chirurgie mineure, infirmière du pavillon des contagieuse, etc.

FOTO 9 Les infirmières de la Croix-Rouge française et militaires blessés. Première Guerre Mondiale. Bibliothèque Nationale de France

QU'EST-CE QUE C´EST LE SOINS INFIRMIÈRES?
Déclaration de la position du CIE adoptée en 1998 et révisée en 2004.

«Le champ de la pratique infirmière ne se limite pas à certaines tâches, fonctions ou responsabilités, mais inclut la prestation de soins directs et l'évaluation de leurs résultats, la défense des patients et de la santé, la supervision et la délégation en autres, la direction, la gestion, l'enseignement, la recherche et le développement d'une politique de santé pour les systèmes de soins de santé. En plus, comme le champ de pratique est dynamique et répond aux besoins de santé, le développement des connaissances et des progrès de la technologie, il devrait être un examen périodique pour veiller à ce qu'il reste compatible avec les besoins de santé actuels et favorise de meilleurs résultats la santé».

TRADUCTEURS
Javier Ezquerecocha Pajares
Silvia Ezquerecocha Diez. Diplôme en sciences infirmières de l'étudiant

ORIGINAL DE TRAVAIL
Voix des soins infirmières dans Auñamendi Encyclopédie.
Première partie

Deuxième partie

AUTEURS:
Jesus Rubio Pilarte
Infirmièr et sociologue.
Professeur U. E. Nursing Donostia. EHU / UPV

Manuel Solorzano Sánchez
Infirmièr. Hôpital Universitaire Donostia San Sebastian. Osakidetza / SVS
Arbitre 1,372. Collège de soins infirmières Gipuzkoa
Membre de soins infirmières Avanza
Membre Eusko Ikaskuntza / Société d'Études Basques
Membre du Réseau latino-américain de l'histoire de soins infirmières
Membre du Réseau cubain de l'histoire de soins infirmières
Membre consultatif de l'Association historique et philosophique de soins infirmières au Mexique AHFICEN, A.C.
Membre non numéraire de la Société Royale Basque des Amis du Pays (RSBAP)